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Le livre qui chante. Pour l’expression artistique et citoyenne des femmes
EditeurLa passe du vent
CollectionPolitiques culturelles et territoires
Date de parution03/2011
ISBN/code barre978-2-84562-183-1
Format (mm)200 × 210 mm
ReliureDos carré collé, cahiers cousus
Nombre de pages128
Poids427 g
Pré/postface Stéphane Hessel, Patrice Meyer-Bisch
Pré/postface Stéphane Hessel, Patrice Meyer-Bisch
L’association Conciliabules est née le 8 mars 1997. Depuis cette date, elle organise, avec le concours d’artistes professionnels, des ateliers d’expression artistique donnant lieu à des restitutions, expositions ou spectacles publics. Hymne à la création, mais aussi à la solidarité, à la générosité et au dialogue entre les cultures, le Livre qui chante retrace les principaux moments de cette aventure singulière, rapporte les propos des protagonistes et réunit contributions ou documents d’archives. Au-delà de la monographie de cette association atypique, l’ouvrage s’interroge sur la place faite, au sein des politiques culturelles publiques, aux initiatives mettant en jeu des « créations partagées » — ces projets associant amateurs et professionnels qui amènent à réviser le statut donné à l’« œuvre d’art » autant que le rôle de l’artiste dans la cité. À l’heure où la reconnaissance des droits culturels constitue un enjeu majeur, le Livre qui chante plaide en faveur d’une meilleure prise en compte, au pays d’André Malraux, des exigences de la démocratie culturelle. Et vient utilement rappeler que, comme l’écrit Stéphane Hessel dans sa préface, « le matériau premier de l’art, c’est l’humain, dans toute sa richesse et sa diversité ».
L’association Conciliabules est née le 8 mars 1997. Depuis cette date, elle organise, avec le concours d’artistes professionnels, des ateliers d’expression artistique donnant lieu à des restitutions, expositions ou spectacles publics. Hymne à la création, mais aussi à la solidarité, à la générosité et au dialogue entre les cultures, le Livre qui chante retrace les principaux moments de cette aventure singulière, rapporte les propos des protagonistes et réunit contributions ou documents d’archives. Au-delà de la monographie de cette association atypique, l’ouvrage s’interroge sur la place faite, au sein des politiques culturelles publiques, aux initiatives mettant en jeu des « créations partagées » — ces projets associant amateurs et professionnels qui amènent à réviser le statut donné à l’« œuvre d’art » autant que le rôle de l’artiste dans la cité. À l’heure où la reconnaissance des droits culturels constitue un enjeu majeur, le Livre qui chante plaide en faveur d’une meilleure prise en compte, au pays d’André Malraux, des exigences de la démocratie culturelle. Et vient utilement rappeler que, comme l’écrit Stéphane Hessel dans sa préface, « le matériau premier de l’art, c’est l’humain, dans toute sa richesse et sa diversité ».