mardi 05 novembre 2024
Mon compte
Vous n'êtes pas identifié
.
Paiement en ligne sécurisé par e-transaction du Crédit Agricole
Panier littéraire
Le panier est vide

À compter du 29 août 2018 les connexions sont cryptées pour la sécurité de vos paiements.

Sang des glaciers (Éric Pessan)

Pessan Éric

Sang des glaciers

EditeurLa passe du vent

CollectionPépites

Date de parution11/2016

ISBN/code barre978-2-84562-300-2

Format (mm)125 x 210

Nombre de pages80

Poids102 g

IllustrationMélio Pessan

Prix 10,00 €
Feuilleter

Sang des glaciersest une œuvre de fiction écrite par Éric PESSAN, dans le cadre de la résidence d’écriture « Déplacements », organisée en 2016 par le service Culturel de la commune de Saint-Gervais les Bains à la Maison forte de Hautetour, de janvier à avril 2016.

LA RESIDENCE D’ECRITURE

 

Prenant pour thème et principe de base la notion de « déplacement », l’auteur sélectionné dans le cadre de la résidence d’écriture n’est ni originaire, ni coutumier de la région. Il est invité à se questionner sur le sentiment de dépaysement provoqué par le « déplacement » de son lieu de vie quotidien vers ce nouvel environnement que constituent la maison forte de Hautetour et plus largement le paysage de montagne de la vallée, pendant le temps de sa résidence.

Ce questionnement se traduit par l’écriture d’un texte de fiction.

Cette résidence d’écriture est rythmée par un certain nombre d’actions culturelles de l’auteur sur le territoire de Saint-Gervais et des communes alentours, afin de valoriser l’écriture, mais aussi la lecture, auprès de publics variés. 

 

EXTRAIT :

 

Le soir, l’homme se place à la fenêtre pour observer la masse sombre des hauteurs, il n’ouvre pas, il n’a pas envie de respirer la fraîcheur de la nuit tombante. Il contemple les volutes de brouillard voiler les crêtes, il voit la blancheur devenir grisaille. L’enfant joue, les lumières s’allument dans les villas au loin, et l’homme ressent la morsure d’une inquiétude diffuse, l’inexplicable montée d’un malaise qu’il aurait le plus grand mal à définir[…].